Initiés et auteurs européens

Publié le par Svetlina

Grèce

La mythologie

Les deux écrivains qui nous ont donné le plus d’informations sur la mythologie :
Hésiode : auteur de La Théogonie, poème qui relate la création de l’univers et les généalogies divines. C’était un pauvre fermier, mais il fut le premier, semble-t-il, à s’interroger sur l’origine des êtres et du monde.
Homère : auteur de L’Iliade et de L’Odyssée, les deux plus anciens poèmes que nous possédions. On ignore toutefois si ces deux poèmes, très différents dans leur forme, sont véritablement l’œuvre d’un auteur unique (que la tradition représente comme un aveugle). Quoiqu’il en soit, ces deux poèmes étaient des œuvres apprises par tous les jeunes Grecs.
D’autres auteurs, quoique de moindre importance, nous ont transmis aussi de précieuses informations sur la mythologie :
Pindare : le plus grand poète lyrique de la Grèce.
Sophocle : l’un des deux autres poètes lyriques de la Grèce.
Euripide : le troisième et dernier grand poète lyrique de la Grèce.
Aristophane : la plus grand poète comique de la Grèce.


Les grands initiés grecs

Orphée : Personnage peut-être mythique, peut-être réel. Il passe pour être le fils de la Muse Calliope, et l’inventeur de la cithare. C’était un musicien de génie, et on raconte qu’il est allé chercher sa bien aimée Eurydice aux enfers. Il passe aussi pour être le fondateur des mystères d’Eleusis. Tout un courant ésotérique était basé sur ce personnage : l’orphisme et les mystères orphiques.
Aristéas de Proconnèse et Epiménide de Crète : deux chamanes. Le premier aurait visité le pays (mythique ?) d’Hyperborée.
Pythagore : le plus grand initié grec, qualifié de mathématicien et de philosophe, alors qu’il était avant tout un maître spirituel. Il a fondé une communauté et un courant, le Pytagorisme. Même s’il n’a rien écrit lui-même, ses disciples ont laissé de fameux textes, en particulier Les Vers d’or de Pythagore.
Empédocle : « il résume l’ésotérisme passé, en intégrant dans sa pensée les Mystères, Pythagore, Héraclite. » On lui doit le quaternaire des éléments Feu, Eau, Air, Terre.
Platon : on ignore si Platon, le plus fameux disciple de Socrate, dispensait un enseignement ésotérique, oral, en plus de son enseignement écrit et philosophique. C’est fort probable. Les traditions se sont beaucoup appuyées sur certains de ses textes, en particulier le mythe de la caverne, et Le Timée, où il relate l’histoire de l’Atlantide. En tous cas, son plus célèbre disciple, Aristote, n’était absolument pas un auteur ésotérique.

Les grands initiés gréco-égyptiens

Les centres culturels de la Grèce se déplacent, et après Athènes, c’est Alexandrie, en Egypte, qui devient la véritable capitale culturelle.

Hermès Trismégiste : considéré comme l’un des plus grands initiés de tous les temps, le fondateur des sciences et des arts. Comme pour Orphée, on ignore s’il a réellement existé. Il est toutefois le père de L’Hermétisme, philosophie de base de l’alchimie européenne, avec des textes fondamentaux comme La Table d’Emeraude (surtout étudié au Moyen-âge) et Le Corpus Hermeticum.
Bôlos de Mendès : le fondateur de l’alchimie gréco-égyptienne.
Zozime de Panopolis : l’un des plus grands alchimistes gréco-égyptiens.

Mouvements tardifs

Le Pythagorisme et le Platonisme reviendront plus tard chez certains auteurs, au début de l’ère chrétienne. On parle alors de « néo-pythagorisme » et de « néo-platonisme ». Ces deux courants sont étroitement liés, et il est difficile de les distinguer l’un de l’autre.
Appolonios de Tyane : un grand mage du premier siècle de notre ère.
Porphyre et Jamblique : deux auteurs du troisième siècle de notre ère, philosophes et ésotériques.

Pour terminer avec la Grèce, il peut être utile de signaler Plutarque et Hérodote (les deux plus grands historiens), et quelques philosophes qui dispensaient un véritable enseignement spirituel tels que le sceptique Diogène (qui vivait dans un bidon).

Rome

Rome n’a jamais été réputée ni pour sa philosophie, ni pour sa religion. Son ésotérisme est infiniment moins riche que celui de Grèce. On peut toutefois retenir quelques noms, surtout des auteurs, pas forcément ésotériques, mais dont les récits ont souvent servi de base à des Mystères ou des Traditions :

Tite-Live : auteur d’une Histoire de Rome, contenant notamment la légende de Remus et Romulus, et le fameux combat des Horace contre les Curace, véritable récit initiatique.
Pline l’Ancien : auteur d’une Histoire naturelle, contenant notamment des récits d’anciennes croyances et pratiques magiques. Quant à Pline le Jeune, il est surtout connu comme étant l’un des tout premiers auteurs
à mentionner le nom de Jésus.
Ovide : auteur des Métamorphoses, récits mythologiques. Ce livre n’a cependant que peu de valeur au point de vue de l’étude de la mythologie, car les récits sont très fortement romancés, exagérés, et le principal objectif de l’auteur est d’amuser et de divertir, non d’enseigner quoique ce soit.

Les trois V :
Virgile : le plus grand poète de Rome, épris d’astrologie et sensible à la religion.
Varron : le plus grand érudit de l’Antiquité latine, véritable
encyclopédiste, auteur de 620 livres !
Vitruve : grand architecte romain.

Christianisation

Les « fondateurs »

Jésus : il faut bien évidemment citer Jésus, personnage dont la réalité historique n’est aujourd’hui (presque) plus contestée.
Matthieu, Marc, Luc : trois évangélistes. Historiquement, il est difficile de dater précisément chacun des Evangiles. Luc est aussi l’auteur des Actes des Apôtres, récit du début de l’évangélisation.
Jean : le quatrième évangéliste, probablement disciple direct de Jésus, également auteur de L’Apocalypse.
Paul : ex-pharisien converti après une vision sur le chemin de Damas, ami de Pierre, véritable fondateur de l’église « officielle », catholique et romaine, et pas ésotérique. Auteur de nombreux Epîtres.
Etienne : le tout premier martyr, lapidé en 36.

Le Gnosticisme

Valentin : excommunié en 140, alors qu’il était pressenti comme le futur pape, fondateur du système gnostique le plus connu et le plus élaboré. Toutefois non reconnu par l’Eglise.
Clément d’Alexandrie (saint) : il est le premier maître de l’Ecole d’Alexandrie, celle qui a vraiment donné une intellectualité aux dogmes catholiques. On parle ici de « Gnose orthodoxe », c’est-à-dire reconnue par l’Eglise, du moins en partie...
Origène : disciple de Clément, et second maître de l’école d’Alexandrie.
Denys l’Aréopagite : ce saint est surtout connu à travers les écrits du pseudo-Denys, beaucoup plus tardifs. Il est le premier à avoir assimilé les hiérarchies angéliques (Les hiérarchies célestes).

Les Pères de l’Eglise

On classe sous cette dénomination les premiers grands penseurs et auteurs chrétiens, pour la plupart canonisés, et ayant vécu au quatrième siècle de notre ère.

Saint Augustin : le plus célèbre, auteur de La Cité de Dieu et d’une règle monastique.
Saint Jérôme : traducteur de la Bible en latin (La Vulgate).
Saint Basile, Saint Ambroise et Saint Jean Chrysostome : trois des plus célèbres pères de l’Eglise du quatrième siècle. Le premier est considéré comme le plus grand législateur de la vie monastique (et l’un des premiers moines chrétiens).

Il nous faut enfin citer deux personnage très importants :
Saint Antoine : il vivait dans le désert, dans la solitude la plus complète ou avec quelques disciples. Il passe pour être le premier moine chrétien, et le fondateur de la vie monastique (avec Saint Basile).
Saint Irénée de Lyon : l’auteur de Contre toutes les hérésies, dont le propos est de décrire et de critiquer toutes les formes de paganisme. Ce livre a au moins le mérite de nous enseigner les diverses croyances des peuples non chrétiens des premiers siècles.

«  Barbares »

Jules César : ce n’était bien évidemment ni un initié, ni un religieux, pas même un philosophe. Il est toutefois l’auteur de La Guerre des Gaules, qui est l’un des seuls récits antérieurs à Jésus qui nous relate les traditions celtiques et qui décrit, sans trop de détails, la mythologie celtique.
Cuchulainn : héros celte, qui aurait vécu au premier siècle de notre ère. Ses initiations et ses aventures sont relatées dans La Razzia des Vaches de Cooley, grande épopée irlandaise.
Odin : nous passons maintenant aux traditions des Germains et des Scandinaves (quasi-identiques l’une et l’autre), plus faciles d’accès grâce aux saga relatées dans Les Edas pour les Scandinaves, et grâce aux
contes réunis par les frères Grimm pour les Allemands. Odin (Wotan), le principal dieu nordique, est probablement un personnage qui a réellement existé au premier siècle avant J.-C. Il passe pour être un chamane borgne très puissant.

Moyen-âge

Sainte Hildegarde de Bingen : la plus grande femme visionnaire du Moyen-âge, fondatrice de deux monastères, de l’ordre des Bénédictines, conseillère de papes et d’empereurs, et auteur de Connais les voies. Ce n’était pas une mystique : les mystiques plongent dans l’extase pour recevoir des visions, alors qu’Hildegarde affirmait tout voir à l’intérieur d’elle-même, en pleine conscience, avec les yeux de l’esprit (XII° siècle).
Hugues de Payns : fondateur de l’ordre des Templiers (XII° siècle).
Jean de Lugio : le plus connu des « théologiens » cathares, auteur du Livre des deux principes, défenseur, dit-on, d’un dualisme absolu (XIII° siècle).
Merlin l’Enchanteur : probablement un grand druide celte du VI° siècle.
Chrétien de Troyes, Robert de Boron : deux conteurs, parmi les plus célèbres, des légendes du Graal (Perceval ou le conte du Graal), au XII° siècle.
Dante : le plus grand poète du Moyen-âge, un Italien du XIV° siècle, auteur de La divine comédie, poème ésotérique en trois parties (L’Enfer, Le Purgatoire, Le Paradis).
Roger Bacon : penseur ésotérique et scientifique du XIII° siècle, aimé ou détesté par les papes successifs, auteur de l’Opus Majus, un livre sur les sciences.
Arnaud de Villeneuve : médecin du XIII° siècle, auteur de deux types d’œuvres : des ouvrages scientifiques de médecine, très réputés à l’époque, mais aussi des œuvres religieuses et prophétiques qui lui valurent beaucoup d’ennuis. Il a aussi écrit sur l’alchimie.
Nicolas Flamel : le plus célèbre alchimiste du Moyen-âge (XIV° siècle). Modeste libraire, il prétend avoir eu un jour entre ses mains le Livre des figures hiéroglyphiques, ouvrage mystérieux auquel il consacra sa vie entière pour tenter d’en percer les mystères. Du jour au lendemain, il devint étrangement riche, si bien que beaucoup pensèrent qu’il avait fini par découvrir le secret du Grand Œuvre.
Basile Valentin : autre grand alchimiste du début du XV° siècle. On raconte que ses écrits ont été découverts dans une colonne d‘un monastère, après que celle-ci ait été fendue par la foudre.

Terminons avec quelques saints : Saint Benoît de Nursie (qui a médité pendant des années dans la solitude d’une petite grotte, et fondateur de l’ordre des Bénédictins), Saint François d’Assise (mystique stigmatisé, fondateur de l’ordre des Franciscains), Saint Bernard de Clairvaux (le plus célèbre des abbés de Cîteaux, et l’un des plus forts soutiens à la formation de l’ordre du Temple) et Saint Thomas d’Aquin (grand théologien).

Renaissance

Jean Pic de la Mirandole : le premier kabbaliste chrétien, Italien d’une culture impressionnante : il parlait sept langues, avait étudié le droit, la philosophie, la théologie. Auteur des Conclusions, écrites à l’âge de vingt-trois ans et condamnées par l’Eglise.
Postel : kabbaliste chrétien français.
Paracelse : très grand médecin allemand qui, dit-on, buvait beaucoup et priait peu. Dans tous ses livres, la magie, l’astrologie et l’alchimie sont présentes à chaque page. L’un des précurseurs (si ce n’est LE précurseur) de l’homéopathie.
Nostradamus : médecin de Charles IX, astrologue, auteur des Centuries, ouvrage de visions prophétiques.
Agrippa de Nettesheim : auteur De la philosophie occulte, véritable synthèse (mais non une création) des connaissances magiques de l’époque.
John Dee : magicien anglais qui communiquait avec des créatures célestes par l’intermédiaire de son médium Kelly.
Jérôme Cardan : savant et penseur très éclectique, auteur d’ouvrages scientifiques sur les mathématiques et la mécanique, mais aussi sur les sciences occultes.
Rabelais : les clés ésotériques sont très nombreuses  dans son œuvre. Son Gargantua est un véritable récit initiatique.
Faust : personnage énigmatique, parfois décrit comme un grand sorcier qui aurait conclu un pacte avec le diable, mais parfois encensé comme un véritable magicien.

XVII° siècle

Jacob Böhme : cordonnier allemand qui connut plusieurs illuminations. Il est au cœur de l’illuminisme.
Christian Rose-Croix (Christiani Rosencreutz) : le XVII° siècle voit la naissance « officielle » entre guillemets (« extérieure » si on préfère) de la Rose-Croix, l’ordre ésotérique le mieux connu avec la Franc-maçonnerie (qui elle est née, probablement, au XII° siècle). La Rose-Croix se base alors sur un personnage peut-être réel, peut-être mythique, Christian Rose-Croix, qui aurait vécu deux siècles plus tôt, dont on lit le récit de sept journées dans le livre Les noces chimiques de Christian Rose-Croix (J.V. Andreae, 1616).
Johannes Kepler : astronome et astrologue allemand.

XVIII° siècle

Martines de Pasqually et Louis Claude de Saint-Martin : les deux premiers maîtres du martinisme, courant ésotérique chrétien.
Isaac Newton : le plus grand scientifique du XVIII°siècle était aussi féru d’astrologie et de sciences occultes.
Cagliostro et Le Comte de Saint-Germain : deux personnages étranges et complexes, tous deux aventuriers, parfois escrocs, voleurs, parfois immensément riches, parfois extrêmement pauvres, fréquentant les cours de tous les rois d’Europe et disparaissant mystérieusement avant de réapparaître dix ans plus tard dans un autre pays… Tous les deux étaient des pratiquants de magie et d’alchimie, bien qu’on puisse douter fortement de leurs compétences dans ces domaines.
William Blake : poète et peintre anglais ésotérique, auteur du Mariage du Ciel et de l’Enfer.
Goethe : écrivain et scientifique allemand qui s’est penché sur l’alchimie, la Rose-Croix, l’occultisme. Auteur de Faust et des Mystères.

XIX° siècle

Eliphas Levi : premier véritable « néo-occultiste », auteur du grand classique Dogme et rituel de la haute magie.
A. Saint-Yves d’Alveydre : érudit ésotériste, inventeur de L’Archéomètre (c’est aussi un livre), clé pour comprendre toutes les philosophies et toutes les religions, et de La Synarchie (c’est également un livre), théorie politique s’appuyant sur trois fonctions sociales (enseignement, législation, économie).
Papus : disciple de Saint-Yves d’Alveydre, médecin, rose-croix, kabbaliste, magicien, occultiste, martiniste, théosophiste... fondateur de la revue L’Initiation (qui, je crois, paraît encore aujourd’hui).
H.P. Blavatsky : fondatrice de la Société théosophique, auteur de La doctrine secrète.
Annie Besant : également l’une des grand maîtres de la Société théosophique.
Allan Kardec : l’un des premiers « spirites » à avoir écrit sur le sujet (Le livre des Esprits, Le livre des médiums). A ce titre, il faut aussi citer Léon Denis.
Gérard de Nerval : poète français dont l’œuvre est parsemée de symboles ésotériques. A ce titre, on pourrait aussi citer certains poèmes de Villiers de l’Isle Adam et de Baudelaire.

XX° siècle

Rudolph Steiner : ancien disciple de la Société théosophique, puis fondateur de l’Anthroposophie et de la Société d’anthroposophie. Il donna des milliers de conférences à travers toute l’Europe.
René Guénon : tournant majeur dans l’ésotérisme contemporain, auteur du Règne de la quantité et les signes des temps.
G.I. Gurdjieff : maître spirituel dont l’école s’appelait : l’Institut pour le développement harmonieux de l’homme. On le connaît surtout grâce à l’œuvre de P.D. Ouspensky : Fragments d’un enseignement inconnu.
O.M. Aïvanhov : maître spirituel français d’origine bulgare, qui n’a écrit aucun livre mais donné plusieurs milliers de conférences. Il était disciple du maître Peter Deunov. Fondateur de la Fraternité blanche universelle.
Alice Bailey : membre de la Société théosophique.
Alexandra David-Néel : grande voyageuse qui fut l’une des premières à détailler les rites et les initiations du Tibet.
Aleister Crowley : étrange magicien, peintre, poète, astrologue et même alpiniste (il a escaladé l’Himalaya) ! Il rejetait le christianisme et « il ne faisait pas toujours le partage entre magie blanche et magie noire ».
Fulcanelli : personnage très mystérieux, d’une immense culture, mais que personne n’a jamais rencontré, hormis les deux hommes qui l’ont fait connaître au public. Il est l’auteur d’un ouvrage monumental : Le Mystère des Cathédrales.
Lobsang Rampa : encore un auteur très troublant, qui décrivait de manière très précise le Tibet et ses initiations… alors qu’il n’y était jamais allé !
C.G. Jung : Psychologue. Autant Freud n’était absolument pas ésotérique (c’est même tout le contraire), autant avec Jung, on approche souvent la constitution occulte de l’homme, d’ailleurs sa thèse en faculté de médecine portait sur le médiumnisme, et son autobiographie est parsemée d’expériences spirituelles très troublantes.
Franz Bardon : occultiste, auteur du Chemin de la véritable initiation magique.

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
P
Il manque cependant une figure importante dans votre liste : Antoine Fabre d'Olivet (1767-1825), un authentique génie à qui la postérité n'a pas (ou pas encore) rendu justice.
Répondre
O
<br /> vous avez mis l'image de Philippe de Lyon à la place de Papus , ce qui prouve votre peu d'érudition . Quand à Franz Bardon en conclusion , c'est un peu juste , c'est qui , un copain à vous ?<br /> Connais pas .<br />
Répondre
P
<br /> <br /> Bonjour,<br /> <br /> <br /> concernant Lobsang Rampa, sachez que les tibétains étaient désolés quand autrefois, des occidentaux, dont la seule connaissance du mystérieux tibet de l'époque venait des livres de<br /> cet écrivain doué, les approchant, leur parlaient de cet auteur. Ce qu'il a écrit ne correspond en rien à la réalité de la spiritualité tibétaine. Il y a des incohérence<br /> géographiques sur les lieux et les distances. Le troisième oeil ne s'ouvre pas aux ciseaux ! C'est le résultat d'une ascèse.<br /> <br /> <br /> Amitiès  Patrick<br /> <br /> <br /> <br />
Répondre
M
<br /> Très intéressante entrée. Néanmoins, St Paul est bien ésotériste. Il ne pourrait en être autrement de quelqu'un qui a connu un phénomène de décorporation et de viste du Paradis et qui a reçu une<br /> visite de Jésus.<br /> <br /> <br />
Répondre
M
C'est intéressant de revenir à certaine source...Bonne Année...
Répondre